Depuis bientôt trois ans, l’association Electrocycle participe à un ambitieux projet, qui a été co-financé par Plaine Commune et l’ADEME, visant à développer le réemploi des vieux smartphones en s’intéressant à l’une des causes de l’abandon de ce doudou moderne : l’obsolescence logiciel du système d’exploitation.
Un catalogue d’offre de services a été co-construit : https://apprendre.encommun.org/boutique.
D’un côté, l’injonction pour des raisons tant écologiques que sociales, voire dans une certaine mesure, économiques, de faire durer plus longtemps ses équipements numériques. De l’autre, la réalité, où même en rendant possible techniquement le réemploi de vieux smartphones*, il apparaît compliqué (impossible ?), dans le monde capitalisme d’aujourd’hui – compte tenu de la faible valeur financière d’un téléphone de plus de 4 ans – de trouver un modèle économique viable.
La conduite de projet nous a démontré que des réciprocités ou des prestations croisées entre différents acteurs de l’écosystème étaient possibles.
Nous souhaiterions explorer le sujet de l’utilisation de la monnaie libre (« La June, Ğ1) – et de l’échange de temps (accorderie) par Electrocycle et son écosystème à l’occasion d’une rencontre en présentiel et distanciel le samedi 16 novembre à la MVAC 11e.
Gratuit, dans la limite des places disponibles pour le présentiel.
* et donc la première mesure de sobriété numérique